Un des lieux communs les plus répandus (mais aussi le plus erroné) sur les parcs est celui prétendant qu’on ne peut plus rien y faire.
Rien n’est plus faux. Le Plan de Parc répertorie en effet les activités humaines qui y sont autorisées compatibles avec la protection environnementale. Elles sont même parfois vivement souhaitées et valorisées à travers des interventions ciblées.
- Les activités agricoles
- Les pâturages
- Les activités forestières
- Le patrimoine bâti, une ressource à protéger
- Le rétablissement environnemental
- La surveillance
- L’acquisition de zones et de bâtiments
- L’information et l’éducation
- La recherche et les relations entre organismes
- Les projets spécifiques
Premier problème: les ressources
Les ressources économiques que le Parc peut mobiliser ne sont certes pas suffisantes pour réaliser toutes les propositions de mise en œuvre que le Plan répertorie.
Les priorités suivantes ont par conséquent été établies:
– Interventions visant à requalifier la présence de l’homme dans le Parc, notamment celles soutenant la sylviculture et la zootechnie et celles dédiées à l’éducation environnementale,
– Restauration du patrimoine bâti et en priorité celui dédié aux fonctions de surveillance, puis celui dédié aux fonctions multiples.
C’est par conséquent dans ces domaines que les interventions du parc se sont principalement concentrées dans ces premières années d’activités.